Bienvenue sur mon blog. "Irving Rutherford", c'est mon pseudo, et c'est aussi un roman feuilleton qui paraît tous les mardis. Je sais pas vous, mais moi je déteste les écrivains qui racontent leur vie, même si c'est un peu ce que je fais. Alors du coup j'arrive pas à m'empêcher de rajouter deux ou trois trucs en plus, pour agrémenter le quotidien. Si c'est votre première visite, je vous invite à lire un épisode ou deux. Chacun peut se lire indépendamment, mais le tout est relié par une continuité, et les vieux épisodes sont gardés dans les archives. Je souhaite une bonne lecture aux nouveaux lecteurs comme aux habitués.
3 janvier 2010
Nouveau look
Voilà. Je me suis dit que la gueule de mon blog donnait envie de se pendre, alors j'ai un peu repris le tout. Que les puristes ne s'en offusquent pas, mais j'ai mis une photo. Je trouve ça un peu moins moche. A mardi.
Si le récit de votre amitié avec Roger est une réflexion sur la solitude, la folie et la mort, je pense qu'il retrace aussi l'histoire de votre complicité par le biais d'anecdotes d'une drôlerie extraordinaire. C'est ce constant aller et retour qui me touche et me donne envie de faire entendre cette voix. Je perçois chez vous une extrême sensibilité dont toute la singularité est de s'inscrire dans une recherche minutieuse et parfois obsessionnelle du mot juste pour décrire l'indicible fragilité de l'être. Dès lors ce qui pourrait nous paraitre violent et quelque peu morbide n'est pas l'effet d'une rage froide et gratuite, mais l'expression d'un désarroi profondément humain, comme quelqu'un qui, après une crise, s'abandonnerait et nous laisserait entrevoir une autre part de lui-même...
J'adooooore ce nouveau look !
RépondreSupprimerSi le récit de votre amitié avec Roger est une réflexion sur la solitude, la folie et la mort, je pense qu'il retrace aussi l'histoire de votre complicité par le biais d'anecdotes d'une drôlerie extraordinaire. C'est ce constant aller et retour qui me touche et me donne envie de faire entendre cette voix. Je perçois chez vous une extrême sensibilité dont toute la singularité est de s'inscrire dans une recherche minutieuse et parfois obsessionnelle du mot juste pour décrire l'indicible fragilité de l'être. Dès lors ce qui pourrait nous paraitre violent et quelque peu morbide n'est pas l'effet d'une rage froide et gratuite, mais l'expression d'un désarroi profondément humain, comme quelqu'un qui, après une crise, s'abandonnerait et nous laisserait entrevoir une autre part de lui-même...
RépondreSupprimerla photo c robert ou vous ?
RépondreSupprimerLa photo c'est moi. Sur une idée de Xavier.
RépondreSupprimeroups javé écris robert alors que c roger ! désolé !
RépondreSupprimerQue pensez-vous du commentaire que j'ai posté précédemmet ? Etes-vous d'accord avec mon ressenti ?
RépondreSupprimerIl y a 1 semaine a suite avait déjà été postée ! Qu'est ce qu'il se passe ?
RépondreSupprimerOn doit attendre minuit moins 5 ?
RépondreSupprimerÇa commence à bien faire, cher Joel. Quand à vous, Chez Lo, je peux en tout cas vous dire que Xavier trouve que vous avez tout compris.
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